ARTICLE 2
Pour ou contre
le botox ?
J’aurais aimé dire, comme beaucoup de profs de yoga du visage : “Le Botox, c’est non.”
Mais je suis partagée. Pourquoi ? Parce que plusieurs de mes clientes en sont satisfaites. Certaines l’utilisent depuis longtemps, et les résultats sont là : des rides profondes qui s’estompent, un visage plus détendu.
Alors j’ai voulu comprendre. J’ai interrogé des dermatologues. Et oui, le Botox peut entraîner une atrophie musculaire, surtout lorsqu’il est injecté régulièrement ou à forte dose. À force d’être mis au repos, le muscle peut s’affiner, perdre en tonicité… et parfois devenir difficile à réactiver.
Mais si les doses sont faibles, bien espacées, et que l’on pratique le yoga du visage entre les séances, pour moi, c’est totalement OK. D’autant plus que dans ma méthode, on apprend à ne pas solliciter constamment le front ou les sourcils. On leur laisse le temps de se reposer. On les réactive en conscience, sans les figer totalement.
Il y a quand même une question que je me pose souvent : Quand un muscle est figé, d’autres peuvent compenser. Dans le yoga du visage, mon objectif est d’amener de l’équilibre musculaire. Alors quand cet équilibre est perturbé, je m’interroge…
Et puis, il y a la circulation sanguine et lymphatique. Vous le savez peut-être : ce sont les mouvements musculaires qui stimulent la circulation des fluides. Quand un muscle est figé, le drainage ralentit. Cela peut entraîner des gonflements, une stagnation… voire un vieillissement prématuré. Mais vous voyez : le massage, lui, peut relancer cette circulation. C’est un vrai allié du Botox. Donc, personnellement, je ne vois pas de problème si c’est fait avec conscience.
Vous l’avez compris : je ne suis pas contre. D’ailleurs, pour les personnes qui souffrent de bruxisme (grincement des dents la nuit), le Botox peut apporter un vrai soulagement. Il détend le masséter, limite les tensions, et peut éviter des douleurs chroniques.
Moi, je ne fais pas de Botox. Parce que je veux rester libre dans mes expressions. Parce que je choisis de vieillir naturellement. Mais je comprends celles qui font un autre choix.
Et je pense qu’on peut associer Botox et yoga du visage : – pour éviter la dépendance, – prévenir l’atrophie, – relancer la circulation, – et garder du lien avec son visage. Peut-être qu’un jour, je prendrai une position plus tranchée. Mais aujourd’hui, je choisis la nuance, l’écoute, et la conscience.
Mais je suis partagée. Pourquoi ? Parce que plusieurs de mes clientes en sont satisfaites. Certaines l’utilisent depuis longtemps, et les résultats sont là : des rides profondes qui s’estompent, un visage plus détendu.
Alors j’ai voulu comprendre. J’ai interrogé des dermatologues. Et oui, le Botox peut entraîner une atrophie musculaire, surtout lorsqu’il est injecté régulièrement ou à forte dose. À force d’être mis au repos, le muscle peut s’affiner, perdre en tonicité… et parfois devenir difficile à réactiver.
Mais si les doses sont faibles, bien espacées, et que l’on pratique le yoga du visage entre les séances, pour moi, c’est totalement OK. D’autant plus que dans ma méthode, on apprend à ne pas solliciter constamment le front ou les sourcils. On leur laisse le temps de se reposer. On les réactive en conscience, sans les figer totalement.
Il y a quand même une question que je me pose souvent : Quand un muscle est figé, d’autres peuvent compenser. Dans le yoga du visage, mon objectif est d’amener de l’équilibre musculaire. Alors quand cet équilibre est perturbé, je m’interroge…
Et puis, il y a la circulation sanguine et lymphatique. Vous le savez peut-être : ce sont les mouvements musculaires qui stimulent la circulation des fluides. Quand un muscle est figé, le drainage ralentit. Cela peut entraîner des gonflements, une stagnation… voire un vieillissement prématuré. Mais vous voyez : le massage, lui, peut relancer cette circulation. C’est un vrai allié du Botox. Donc, personnellement, je ne vois pas de problème si c’est fait avec conscience.
Vous l’avez compris : je ne suis pas contre. D’ailleurs, pour les personnes qui souffrent de bruxisme (grincement des dents la nuit), le Botox peut apporter un vrai soulagement. Il détend le masséter, limite les tensions, et peut éviter des douleurs chroniques.
Moi, je ne fais pas de Botox. Parce que je veux rester libre dans mes expressions. Parce que je choisis de vieillir naturellement. Mais je comprends celles qui font un autre choix.
Et je pense qu’on peut associer Botox et yoga du visage : – pour éviter la dépendance, – prévenir l’atrophie, – relancer la circulation, – et garder du lien avec son visage. Peut-être qu’un jour, je prendrai une position plus tranchée. Mais aujourd’hui, je choisis la nuance, l’écoute, et la conscience.